La suppression des contrats aidés c’est réduire de 459 000 à 320 000 le nombre de contrats aidés en 2017 et annoncer leur diminution drastique en 2018 revient à remettre en cause voire à anéantir leurs activités dans les services publics, les écoles et dans de nombreuses associations dont celle d’Emmaüs.
Les contrats aidés permettent à des personnes en chômage de longue durée et à des jeunes en très grande difficulté de retrouver l’espérance, une activité rémunérée et une vie sociale.
C’est un moyen de revenir à l’emploi durable. On risque de perdre ainsi 600 emplois nécessaires pour allier le manque de bénévoles dans certaines structures d’Emmaüs.
Ces personnes sont réparties dans divers secteurs d’activités comme les ramasses, le tri, la vente, les réparations… et sont indispensables au bon fonctionnement de l’association.
Emmaüs France a lancé avec d’autres associations, syndicats, chercheurs et acteurs de la société civile une tribune pour expliquer sa position ainsi qu’une pétition que vous pouvez signer au lien suivant:
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